mardi 25 novembre 2008
Carla Bruni et Silvio Berlusconi : nouveau clash en vue ?
M6 consacre une émission à Carla Bruni avant Noël
Carla Bruni a accepté de se dévoiler le 18 décembre à 22H40 sur M6 à travers une émission qui lui sera totalement consacrée. Et c’est Lolo Boyer, Docteur ès stars, qui s’y colle. La première Dame de France recevra ses meilleurs amis parmi lesquels Julien Clerc, Laurent Voulzy, Jean-Paul Gaultier, Christian Lacroix et Jean-Louis Murat, pour évoquer avec eux les moments forts de sa vie. Vie de mannequin : Karl Lagerfeld et John Galliano évoqueront leur rencontre avec Carla Bruni qui est devenue l’un des plus grands tops des années 90. Vie d’artiste : Louis Bertignac, qui a réalisé ses deux premiers albums, lui réserve une jolie surprise en musique. Des invités comme Raphaël viendront interpréter des duos inédits avec Carla Bruni. Vie publique : On découvrira comment le plus célèbre imitateur italien la caricature dans son pays d’origine. Vie privée : Les proches de Carla Bruni parleront de la chanson Salut Marin qui aborde la disparition de Virginio Bruni-Tedeschi, son frère, dont elle était très proche. Ses meilleures copines se confieront sur Carla l’amie, l’amoureuse, la maman, la femme au quotidien. Autant de « révélations » qui devraient se transformer en jolis bouquets de fleurs, on s’en doute. Est-ce que Nicolas Sarkozy viendra dire un mot ou deux sur sa belle ? Telle est la question…
mercredi 29 octobre 2008
Johnny Hallyday en duo avec Carla Bruni
lundi 6 octobre 2008
Carla Bruni-Sarkozy invitée à la télévision allemande
lundi 29 septembre 2008
Carla Bruni-Sarkozy sur Canal+ dans la "Boite à questions" : "Du caviar !"
« Du caviar ! ». C’est par cette métaphore gastronomique que Laurent Bon, producteur du « Grand Journal » sur Canal+ qualifie la prestation de Carla Bruni-Sarkozy dans l’émission du 18 septembre dernier. Plus précisément son passage dans la désormais célèbre Boîte à questions, une séquence culte où l’invité répond seul face à un écran aux interrogations des internautes. L’exercice demande de la repartie et une bonne dose d’humour. Et la première dame de France a réussi son passage haut la main.
Tour à tour maline, drôle et mutine, Carla a réponse à tout. Même à la question d’un petit curieux qui s’interrogeait sur le côté prisé par son président de mari dans leur lit. Sans se démonter, l’ex-mannequin de répondre habilement : « Chez moi, il dort à gauche, au palais, il dort à droite. » Joueuse, Carla s’exécute quand on lui demande de faire une grimace. À la question de savoir si elle se fait encore draguer depuis qu’elle est mariée, elle répond, enjôleuse : « Beaucoup moins. » Bref un vrai petit one-woman-show ! À tel point que vsd.fr s’est demandé si les réponses n’avaient pas été potassées à l’avance… Élise Ayrault, la journaliste responsable de la rubrique, assure qu’aucune question n’a été transmise en amont et que Carla Bruni n’a rien demandé avant l’enregistrement de la séquence ni après. « J’ai été assez bluffée. Elle a répondu quasiment du tac-au-tac, laissant peu de blancs. Surtout elle n’a éludé aucune question, même celle sur l’angine blanche qui était une allusion très claire à Cécilia. » 4 millions de téléspectateurs ont assisté au stand-up de Carla. À quand le Jamel Comedy Club ?
vendredi 22 août 2008
Le dalaï-lama a rencontré Carla Bruni
Le président Nicolas Sarkozy avait fait savoir qu'il ne rencontrerait pas le dalaï lama lors de sa visite en France, pour ne pas froisser la Chine. Aucune rencontre politique n'était donc prévue, autre que celle à huis clos avec des sénateurs français le 13 août et celles avec des membres de l'opposition, jusqu'à ce que Bernard Kouchner annonce finalement il y a quelques jours qu'il comptait rencontrer le dirigeant tibétain dans l'Hérault. "Je lui ai dit qu'il était toujours le bienvenu en France", a déclaré M. Kouchner avant de quitter le temple tibétain de Roqueredonde, situé à 70km au nord de Montpellier, au pied du plateau du Larzac.
Le dalaï lama "est concerné par la situation qui règne en ce moment au Tibet", a déclaré de son côté le moine Mathieu Ricard, interprète du dalaï lama. "En parallèle aux Jeux olympiques, il y a une certaine forme de répression extrêmement brutale qui continue a régner", a-t-il accusé. "La situation est grave". Le secrétaire général de Reporters sans Frontières (RSF) Robert Ménard a dénoncé vendredi une "mascarade": Mme Bruni-Sarkozy "n'a rien à faire dans cette histoire-là (...) C'est un lot de consolation qu'on a proposé au dalaï lama parce qu'on a honte du comportement qu'on a vis-à-vis de lui", a-t-il estimé lors d'une conférence de presse à Paris. Dans un communiqué, Faouzi Lamdaoui, secrétaire national du Parti socialiste à l'égalité a aussi fustigé vendredi une "grave dérive dans la peoplisation" et une "opération de communication dérisoire". "Mme Carla Bruni-Sarkozy est certainement une belle voix, mais elle n'est pas la voix de la France", rappelle-t-il. Nicolas Sarkozy doit recevoir le dalaï lama le 10 décembre prochain à Paris avec l'ensemble des prix Nobel de la paix, selon le secrétaire d'Etat aux Relations avec le Parlement Roger Karoutchi.
Avant de rencontrer M. Kouchner, le dalaï lama a inauguré le temple de Lerab Ling de Roqueredonde. Outre Carla Bruni, Bernard Kouchner et Rama Yade, le maire (UMP) de Bordeaux Alain Juppé était présent. Côté people, Ines de la Fressange, Maud Fontenoy et Line Renaud étaient annoncées. Fermé au public par plusieurs barrages de gendarmerie, le site avait pris des allures de camp retranché. Dans une interview accordée par le chef spirituel tibétain au quotidien "Le Monde" daté de vendredi, le dalaï lama fustigeait notamment le "projet de répression brutale" des autorités chinoises au Tibet. "Depuis le début des émeutes, le 10 mars, des témoins fiables ont pu établir que 400 personnes ont été tuées dans la seule région de Lhassa", a-t-il accusé. Le joyau du temple inauguré vendredi matin est une statue de sept mètres de haut du Bouddha, fabriquée en Birmanie. Ce temple, où le dalaï lama s'est déjà rendu en 2000 pour bénir le site, a ouvert ses portes en juillet 2006, après trois ans de travaux.
dimanche 17 août 2008
Dalaï lama - Carla Bruni : face à face pour la paix
Nicolas Sarkozy avait envoyé Cécilia pour négocier avec Kadhafi à Tripoli. Il dépêche Carla pour le représenter au côté du dalaï-lama lors de l'inauguration d'un temple bouddhiste le 22 août à Lodève. Cette rencontre suscite la polémique car elle apparaît comme une maigre compensation au refus du président de la République de recevoir pendant les Jeux olympiques le chef spirituel du Tibet.
Kouchner annule son rendez-vous!
Le Président donne l'impression d'avoir cédé aux injonctions des Chinois, même s'il devrait accueillir le dalaï-lama le 10 décembre avec l'ensemble des prix Nobel de la paix. Pour les socialistes, «cette mise en scène autour de l'épouse du président, qui ne jouit d'aucune légitimité démocratique, est choquante et participe au grand imbroglio de Nicolas Sarkozy sur la question chinoise.»Quant à Bernard Kouchner, il devait rencontrer mercredi prochain le dalaï-lama. Mais le ministre des Affaires étrangères a fait savoir hier au tout dernier moment qu'il annulait le rendez-vous: «Le 20 août, je ne peux pas», dit-il. Il avance pour excuse la crise en Géorgie.
SEGOLÈNE AVANT TOUT LE MONDE C'est donc Ségolène Royal qui a pris tout le monde de vitesse en s'entretenant avec le dalaï-lama hier à Nantes. Rendant hommage à «un homme qui souffre avec son peuple qui subit actuellement une répression féroce», elle a estimé que «la Chine retrouverait une respectabilité internationale si elle tenait sa parole de renouer le contact et le dialogue avec le dalaï-lama. Les solutions pacifiques, les solutions raisonnables que proposent le dalaï-lama doivent être entendues des autorités chinoises. » Ségolène Royal a exprimé au chef spirituel tibétain son intention de se rendre au Tibet, avant d'ajouter : «Il a trouvé que c'était une bonne idée et donc dès la semaine prochaine je vais demander aux autorités chinoises un visa pour me rendre au Tibet, je crois que les choses pourront ainsi bouger.» Réplique de l'UMP : «La conquête du leadership du PS s'accommode facilement de toutes les démagogies». Décidément la présence du dalaï-lama en France n'en finit pas de nourrir la polémique...
samedi 7 juin 2008
Carla Bruni-Sarkozy plutôt bien vue des Français
samedi 17 mai 2008
Carla Bruni montera peut être les marches de Cannes
vendredi 9 mai 2008
La question de la nationalité de Carla Bruni
Selon Louvrier, elle est italienne. Selon Sarkozy, elle est française... Mais revenons un peu en arrière. Le 3 février, au lendemain du mariage, Claude Guéant, secrétaire général de l’Elysée, premier conseiller et principale plume du président, déclarait sur Europe 1 : « Quelqu’un qui épouse une personne française devient automatiquement français. » Or cela est absolument faux. Depuis la loi du 26 juillet 2006, que Sarkozy a fait voter, le délai de communauté de vie pour devenir français est passé de deux à quatre ans. Et il ne s’agissait pas d’une disposition camouflée. Toute la presse en avait largement fait état. Avant la loi de Sarkozy, Carla aurait dût attendre 2010 pour pouvoir devenir française. Depuis la loi de Sarkozy, elle doit attendre 2012.
Le quotidien 20 minutes avait alors contacté l’Elysée pour demander s’il s’agissait d’un malentendu ou d’un lapsus. Réponse : « Si, si, Carla Bruni devient française par le seul fait de son mariage avec Nicolas Sarkozy. » Cette réponse émanait de... Frank Louvrier. Celui qui dit aujourd’hui que selon lui Carla est italienne... Cet imbroglio n’a rien d’anecdotique. Il montre qu’à l’Elysée, les principaux conseillers de Nicolas Sarkozy, et Nicolas Sarkozy lui-même, ne connaissent pas les lois. Ni les lois existantes, ni les lois qu’ils font voter. Et si Frank Louvrier paraît (peut-être) avoir enfin découvert la loi du 26 juillet 2006, le président de la République ne craint pas de faire publiquement une déclaration qui est en contradiction flagrante et formelle avec la loi.
Le côté pipole de l’affaire ne doit pas détourner l’attention : il ne s’agit pas d’une anecdote, il s’agit de la nationalité française. Il est vrai que Nicolas Sarkozy n’est pas du tout au fait de la question, comme il l’a encore montré lors de son dernier show télévisé, lorsqu’il a confondu, longuement, et de façon répétée, la naturalisation et la régularisation (des « travailleurs sans papiers »). Et c’est tout de même très grave que le président de la République française fasse une telle confusion et ne sache pas ce que sont les règles d’acquisition de la nationalité française. Quant à Carla Bruni, on ne voit pas pourquoi elle voudrait devenir française, elle qui disait avant son mariage avec le président : « Je ne suis pas du tout française.... j’aime être italienne... », et critiquait les Français qui ont « mauvais caractère », sont « toujours négatifs » et « sont cinglés à propos de leur langue ».... Propos qui par ailleurs indiquaient suffisamment qu’elle n’avait pas alors entamé de démarches pour obtenir la nationalité française comme résidente de longue date sur le territoire.
lundi 28 avril 2008
Carla Bruni : La vérité toute nue
lundi 7 avril 2008
Carla-Bruni Sarkozy à la marche blanche pour Ingrid Betancourt
Carla Bruni la discrète
Les deux jours de la visite d'Etat du couple présidentiel au Royaume-Uni, cette semaine, était une illustration de lÕinfluence et du rôle de Carla Bruni-Sarkozy, qui a méticuleusement préparé ce déplacement. Mercredi, à son arrivée au château de Windsor, elle est apparue ostensiblement discrète, dans son habit gris, un peu rétro, avec un chapeau anthracite qui lui donnait des airs de Jackie Kennedy, se tenant sagement aux côtés de la reine, après avoir effectué une révérence alors que le protocole ne l'y obligeait pas, devisant et souriant même avec elle pendant que Nicolas Sarkozy passait les troupes en revue avec le prince Philip. Loin, très loin de l'image véhiculée par les tabloïds anglais du mannequin flamboyant qu'elle a été, Carla Bruni- Sarkozy a voulu s'afficher dans une tenue stricte aux côtés du chef de l'Etat pour montrer qu'elle est désormais totalement dans son nouveau rôle de première dame de France.
Les photographes ne se sont focalisés que sur elle
L'influence de la première dame ne se mesure pas uniquement à sa capacité à régler le rythme présidentiel sur son propre tempo. Elle s'observe également à la lumière du tourbillon médiatique qui l'entoure. Moins de deux mois après son mariage, c'est vers elle que se tournent tous les objectifs des caméras et des photographes. Jamais une femme de président de la Ré publique n'a suscité autant de curiosité , n'a attiré autant de médias dans son sillage, n'a fait la couverture d'autant de magazines si peu de temps après son installation à l'Elysée. Inimaginable du temps d'Yvonne de Gaulle ou de Claude Pompidou, la machine médiatique ne s'est pas emballée de la sorte pour Anne-Aymone Giscard d'Estaing, Danièle Mitterrand ou Bernadette Chirac. Les précédentes épouses de Président pouvaient susciter la curiosité de ceux qui voulaient voir comment une militante se muait en première dame, intriguer ceux qui cherchaient à comprendre leur influence politique réelle, mais elles n'ont jamais eu à subir les assauts répétés des paparazzi ni l'étalage de leur vie privée sur internet. La première interview de Carla Bruni- Sarkozy, donnée à L'Express, a valu au magazine dirigé par Christophe Barbier de réaliser la meilleure vente de son histoire, plus de 600000exemplaires ! Jusqu'ici, c'était plutôt Nicolas Sarkozy qui assurait à la presse ses meilleures diffusions. En Inde, en Afrique du Sud, en Grande-Bretagne, les journalistes politiques et diplomatiques ont été surpris, à l'instar des services de l'Elysée, de voir apparaître dans les voyages officiels des collègues de la presse people accrédités comme eux pour suivre les premiers pas de Carla Sarkozy davantage que les discours de Nicolas Sarkozy.
Les objectifs des caméras et des appareils photo ne sont focalisés que sur elle. Comment est-elle habillée ? Va-t-elle sourire ou sera-t-elle crispée à sa descente d'avion ? Comment va-t-elle se comporter ? Et si elle commettait un impair, un faux pas ? Chaque expression de son visage à chaque instant peut revêtir une signification politique... « Tout est interprétable et interprété», constate-t-on, impuissant, à l'Elysée. Alors, les photographes et les cameramans ne la quittent pas d'une semelle. Une pression médiatique de tous les instants à laquelle, paradoxalement, l'ancien mannequin n'était pas préparée. Habituée depuis son enfance à changer de pays, de vie, puis de métier, Carla Bruni-Sarkozy ne s'attendait pas à «la violence» inhérente à l'univers de la politique. « C'est l'adaptation la plus ardue que j'ai eu à faire», reconnaît aujourd'hui la première dame de France en repensant à ces derniers mois qui ont bouleversé sa vie. Et pourtant, elle en a connu des changements, entre son départ d'Italie à 5 ans, la vie en France, le métier de mannequin à la renommée internationale, puis d'auteur compositeur interprète de chansons à succès.
Les inquiétudes de Mme Bruni-Sarkozy
Sa soeur, Valeria Bruni-Tedeschi, cinéaste et actrice, est elle-même une amie proche de l'actuel directeur de la Villa Médicis, le scénographe Richard Peduzzi, et de son épouse Pénélope, auxquels elle a rendu visite, à Rome, à la fin 2007, alors qu'il n'était pas encore question de la nomination de M. Benamou. Ancienne élève du Théâtre des Amandiers, compagne de l'acteur Louis Garrel, Valeria Bruni-Tedeschi connaît la plupart des signataires de la pétition s'élevant contre "le fait du prince". Elle s'est pourtant refusée jusque-là à jouer les intermédiaires entre le président de la République et ses amis. Contactée par Le Monde, Valeria Bruni-Tedeschi affirme ainsi ne pas être intervenue auprès de sa soeur ou de Nicolas Sarkozy dans cette affaire, mais ne cache pas, cependant, sa satisfaction de voir la nomination de Georges-Marc Benamou remise en cause. "J'aurais aimé avoir la fierté d'être intervenue, confie-t-elle, car je trouvais cette nomination à la tête d'un lieu si important pour les artistes inquiétante. Mais il faut rendre à César ce qui appartient à César : je suis heureuse de ce changement, mais je n'y suis pour rien."
Carla Bruni enseignera le raffinement aux Britanniques
Allure vestimentaire et cuisine
"Je veux une Grande-Bretagne, aujourd'hui et à l'avenir, où le bon goût et le raffinement soient un droit pour tous et non le privilège d'une élite, que ce soit en matière de mode, de nourriture ou de boisson, ou dans le domaine culturel", doit dire Gordon Brown en annonçant l'incroyable nouvelle mercredi devant l'institut culturel français de Londres, selon le journal. L'épouse de Nicolas Sarkozy envisage de commencer sa mission civilisatrice outre-Manche en s'attaquant à deux points noirs de la culture britannique, l'allure vestimentaire et la cuisine, assure le quotidien. Elle doit notamment rencontrer le célèbre "chef" Jamie Oliver pour inciter les Britanniques à adopter une approche plus "continentale" dans leurs rapports avec la nourriture et la boisson.
Ensemble gris chez Marks et Spencer
Par exemple en suggérant d'accompagner les repas des enfants, dès sept ou huit ans, d'un peu de... vin rouge, persifle le Guardian. L'ex top-model pourrait également rencontrer le patron de Marks et Spencer en vue de mettre au point une version "prêt-à-porter" de l'ensemble gris Dior qui avait tant séduit les Britanniques la semaine dernière, ajoute le journal. De son côté, le tabloïd The Sun s'amuse d'un autre aspect du couple Sarkozy relevé par la presse britannique : leur différence de taille.
Injections de calcium
Le président français va bénéficier d'un traitement révolutionnaire mis au point par un laboratoire suisse pour gagner plus de 12 cm en un an, ce qui lui permettra de toiser son ancien mannequin de femme, plaisante un article du quotidien populaire. Graphique à l'appui, le Sun explique que le traitement implique notamment d'être attaché à un lit "extenseur" digne d'un roman de Kafka, pendant plusieurs heures, tout en recevant des injections de calcium. Les opérations doivent se dérouler au Centre médical Poisson d'avril de Genève.
Carla Bruni serait enceinte de triplés!
Selon un proche de l'Elysée, Nicolas Sarkozy aurait déjà tout organisé pour assurer l'éducation de sa future progéniture. Les trois bambins seront éduqués à l'Elysée. Il se chuchote que Bernadette Chirac, proche de la famille Sarkozy, fera office de « nounou ». Il est vrai qu'elle connaît tous les recoins des appartements présidentiels où les petites têtes blondes ne manqueront pas de jouer à cache-cache. La maison de mode Prada aurait proposé d'habiller la première dame de France tout au long de sa maternité. Une collection spéciale « Carla Bruni Maternity » pourrait même voir le jour. Carla tournerait donc déjà le dos à la grande griffe française Dior pour revenir aux bonnes habitudes de L'Elysée, dont la cour d'honneur s'orne déjà d'un portique à balançoires flambant neuf. Nicolas Sarkozy a déjà deux fils, Pierre (né en 1985) et Jean (né en 1986), de son premier mariage avec Marie-Dominique Culioli. De son union avec Cécilia Ciganer-Albéniz est né Louis en 1997. Carla Bruni-Sarkozy a pour sa part déjà un fils de sa liaison avec Raphaël Enthoven. L'Elysée sera bientôt trop petit pour accueillir la grande famille recomposée Sarkozy-Bruni.
Discographie de Carla Bruni
No Promises
Afternoon
At last the secret is out
Autumn
Ballade at thirty five
Before the world was made
I felt my life with both my hands
I went to heaven
If you were coming in the fall
Lady weeping at the crossroads
Promises like pie crust
Those dancing days are gone
Carla Bruni - Quelqu'un m'a dit
Quelqu'un m'a dit
Chanson triste
J'en connais
L'amour
L'excessive
La dernière minute
La noyée
Le ciel dans une chambre
Le plus beau du quartier
Le toi du moi
Quelqu'un m'a dit
Raphaël
Tout le monde
Biographie de Carla Bruni
En 1973, sa famille s'installe en France par peur des enlèvements par les Brigades rouges italiennes[2]. Jeune, elle apprend le piano puis la guitare. Elle baigne dans la musique depuis toute petite et a hérité de sa famille un goût pour cet art. Passionnée de littérature et d'écriture, elle compose des chansons, en griffonnant ses textes entre deux activités. Elle suit ses études dans des internats privés suisses et français, puis poursuit des études d'architecture à Paris. À l'âge de 19 ans, elle arrête ses études d'architecture et devient mannequin pour l'agence parisienne City Models. Elle accède dès lors au rang de top model, en 1988, pour devenir une star des magazines de mode des années 1990 et défiler pour les plus grands couturiers.
En 1995, elle joue son premier rôle au cinéma dans Catwalk de Richard Leacock puis en 1997 dans Paparazzi d'Alain Berberian. La même année, à l'âge de 29 ans, elle met fin à sa carrière de mannequin qui aura duré dix ans. Elle décide de se consacrer à la musique. En 1999, elle rencontre Julien Clerc lors d'un dîner et lui confie qu'elle écrit des chansons. Quelques semaines plus tard, elle lui envoie un texte intitulé Si j’étais elle. Julien Clerc compose la musique de cette chanson et sort l'album Si j'étais elle dont Carla Bruni a écrit les cinq autres titres. En 2000, l'album s'est vendu à plus 250 000 exemplaires.
En 2002, elle compose, avec l'aide de Louis Bertignac, les paroles et la musique d'un album Quelqu'un m'a dit. Elle interprète cet album en s'accompagnant en solo à la guitare sèche. Son album est bien accueilli par la critique et vendu à deux millions d'exemplaires. Elle remporte le prix Raoul-Breton en 2003 décerné par la Sacem et récompensant un auteur ou un compositeur de chanson à titre d'encouragement. À l'occasion des Jeux Olympiques d'hiver de Turin en 2006, elle porte le drapeau italien pour le lever des couleurs lors de la cérémonie d'ouverture. Le 15 janvier 2007, elle sort un deuxième album No Promises dans lequel elle accompagne sa musique de textes de poètes anglophones comme William Butler Yeats, Wystan Hugh Auden, Emily Dickinson, Christina Rossetti, Walter de la Mare ou encore Dorothy Parker. Ce second opus ne se serait vendu qu'à 80 000 exemplaires en 2007.
Ses multiples liaisons, avérées ou supposées, lui valent le qualificatif de « papillon » ou « croqueuse d'hommes ». Elle a fait de nombreuses fois la une de la presse people en se montrant aux bras des rock stars Eric Clapton et Mick Jagger qui était alors marié avec Jerry Hall, du multimilliardaire Donald Trump, les acteurs Kevin Costner et Vincent Perez, l'avocat Arno Klarsfeld. On lui prête également une liaison avec l'ancien Premier ministre Laurent Fabius, ce qu'elle dément. Elle déclare être monogame, de temps en temps, mais préférer la polygamie et la polyandri. Alors qu'elle vit avec l'éditeur littéraire Jean-Paul Enthoven, elle entame une liaison avec son fils Raphaël Enthoven, avec qui elle se marie et a un enfant, en 2001. En 2004, elle est l'un des personnages du premier best-seller de Justine Lévy Rien de grave. L'auteur, fille de Bernard-Henri Lévy (dont l'éditeur historique et meilleur ami n'est autre que le père de Raphaël Enthoven), y expose son important passage à vide et sa période de reconstruction à la suite de son divorce avec Raphaël Enthoven, parti avec Carla Bruni.
Le 17 décembre 2007, le site internet de l'hebdomadaire français L'Express publie des photos d'elle dans les allées de Disneyland Paris en compagnie du président de la République française Nicolas Sarkozy récemment divorcé, ce qui provoque une large couverture médiatique nationale et internationale. Le couple passe les vacances de Noël 2007 en Égypte puis le week-end suivant à Pétra en Jordanie. Un mariage est indiqué comme possible par le président, mais le cas échéant la date pourrait ne pas être annoncée à l'avance. De nationalité italienne, elle n'a pas voté aux élections présidentielles françaises de 2007, mais affirmait qu'elle aurait voté Royal. Se positionnant contre l'utilisation des tests ADN pour le regroupement familial, elle déclarait : « Je ne suis pas une politique, je n’ai pas forcément un esprit polémique, je signe rarement des pétitions, et je ne crie pas sur les toits pour qui je vote. »