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lundi 26 décembre 2011

Carla Bruni-Sarkozy : le bling bling, c'est fini pour la first lady

Cheveux lâchés lui encombrant le visage, gros pull à col roulé camel, maquillage nude et zéro bijou, la first lady l’a joué bobo boring. Une évolution sensible du look adopté par Madame Sarkozy les années précédentes, quand les pièces chics mais sobres dominaient, que le noir était de rigueur, que le brush se portait fièrement, souligné par un discret collier de diamants ou d’une paire de boucles d’oreilles.

La page du bling bling est tournée depuis longtemps pour les Bruni-Sarkozy. Dès le début de leur histoire, le jeune couple a voulu afficher une image tranchant avec l’époque yacht-robe-cocktail du règne de Cécilia Ciganer-Albéniz. Les débuts de la romance Carla-Nico ? Moins clinquant, plus sage, tout en maintenant une certain degré de glam. La grossesse de Carla a marqué une nouvelle évolution de la gestion de leur image. Pour ne pas être accusés d’instrumentaliser l’arrivée d’un bébé à l’Elysée, Carla et Nicolas ont tenté de s’afficher comme normaux. Ou presque. La communication officielle fut réduite à son strict minimum. Pour calmer la presse après la naissance : une simple balade dans le parc (public) du château de Versailles fut programmée, juste quand, que c’est amusant, une brochette de photographes passait par là. Comme sur les photos volées diffusées pendant toute la grossesse de Madame, les looks de Carla et Nicolas y apparaissent relâchés, très friday wear, Français moyen plus. Mais ce sont des photos volées. En théorie, à ce moment-là, rien n’est calculé.

Jeudi, c’est dans un cadre très officiel que Carla Bruni est apparue avec une allure à la limite du casual, basique. Et c'était une première, réservée à son retour à la vie publique, pile quand la campagne présidentielle commence sans vraiment le dire. Une manière d’équilibrer l’image du couple : il apparait difficile pour Nicolas Sarkozy de provoquer l’identification de l’électeur alors qu’il tente de s’imposer aux esprits comme le Superhéros qui sortira l’Europe de la crise. Difficile, aussi, de marcher sur les plates-bandes de son principal adversaire, le candidat “normal” François Hollande. Alors c’est Carla qui s’y colle, en remisant ses habits de princesse au placard...

Carla Bruni : Son geste inattendu envers une journaliste mélomane

Dans le numéro du 23 décembre du magazine ELLE, Florence Trédez, journaliste française, livre une anecdote inattendue concernant notre Première dame généreuse. Elle raconte : "J'avais rendez-vous avec Carla Bruni pour sa première interview en tant que Première dame. Elle m'accueille avec gravité, car elle est au courant, par son attachée de presse, que mon appartement a brûlé il y a peu et que mes affaires ont disparu dans l'incendie. (...) Comme elle sait que je joue du piano, elle veut me prêter son piano électrique (...). Pour m'habiller, elle propose de m'offrir ses robes trop moulantes ou courtes pour l'Elysée. Evidemment, je refuse. (...) Puis je reprends le métro. Sur le quai, mon portable sonne. C'est Carla Bruni qui réitère sa proposition de m'offrir son piano de sa voix rauque d'Italienne : 'Vous savez, Florence, je peux vous faire porter le piano en toute discrétion, ça me ferait tellement plaisir'".

Une histoire attachante, qui prouve une fois de plus que notre Carlita a su rester accessible et simple. Celle qui est rentrée de Marrakech où elle a passé quelques jours avec sa fille Giulia et a soufflé sa 44e bougie à Paris en petit comité, a laissé un doux souvenir à la journaliste, qui se confie aux côtés d'autres grandes plumes, dans les colonnes du magazine qui consacre un sujet aux anecdotes rencontrées par les journalistes à l'occasion d'interview. Si vous souhaitez savoir comment Alix Girod de l'Ain a été poursuivie par Hugh Grant ou comment Kirsten Dunst a pris soin d'Isabelle Duriez, rendez-vous en page 99 du célèbre magazine, actuellement en kiosques.

samedi 24 décembre 2011

Carla Bruni-Sarkozy : La jeune maman a 44 ans, retour sur son année d'émotion

L'occasion pour Purepeople.com de revenir sur cette année 2011 qui fut particulière pour Carla Bruni, épouse du président de la République Nicolas Sarkozy depuis 2008. L'interprète de la chanson Quelqu'un m'a dit a vécu des derniers mois extrêmement forts en émotion : à plus de 40 ans, elle a eu un enfant, son second après Aurélien, 10 ans, né de son idylle avec Raphaël Enthoven.

Sa grossesse, révélée par le magazine Closer en avril dernier, a touché les Français et les médias, qui l'ont soutenue et suivie pas à pas, se réjouissant de cette heureuse nouvelle. Extrêmement discrète et en retrait concernant sa vie intime, la première dame de France a su rester, quelques jours après l'annonce de son état, "bouche cousue" face aux lecteurs du Parisien, discrète au micro d'Yves Calvi sur RTL et tout aussi mystérieuse lors de son interview avec Jean-Pierre Pernaut sur TF1. Si le réalisateur Woody Allen, sa maman Marisa Bruni-Tedeschi, son beau-père Pal Sarkozy et même Bernadette Chirac ont laissé "fuiter" la nouvelle dans la presse étrangère, l'intéressée n'a cessé de garder son secret le plus longtemps possible, estimant à juste titre qu'il lui appartenait.

L'officialisation de sa grossesse a été faite en images fin mai, en marge du 37e sommet annuel du G8 à Deauville, lors duquel elle était présente aux côtés de son mari. Souvenez-vous, elle avait posé en robe blanche aux côtés des conjoints des chefs d'État, laissant ses belles rondeurs exposées aux yeux de tous.

Suite à la révélation de ses courbes et la confirmation officielle de sa grossesse dans les colonnes de Nice-Matin mi-juillet, l'artiste a passé un été joyeux, ensoleillé et médiatiquement peu exposé, au Fort de Brégançon, puis dans sa demeure familiale située au Cap-Nègre. A l'aise à la rentrée afin de faire quelques apparitions avant de se reposer en attendant l'arrivée de son trésor (notamment lorsqu'elle a accueilli les visiteurs de l'Élysée dans le cadre des Journées européennes du patrimoine), elle a ensuite ralenti son rythme en toute sérénité, ne délaissant pas pour autant son engagement premier : sa fondation.

Depuis le 19 octobre, sa petite Giulia (dont le potentiel prénom a fait un immense buzz), fait son bonheur quotidien, comme celui de son papa. Et Carlita a attendu le Noël de l'Elysée, le 14 décembre dernier, afin de faire sa première apparition officielle. Attentive et en admiration devant sa princesse, elle prend soin d'elle avant toute autre obligation. Cette semaine, elle était en déplacement à Marrakech, afin de prendre quelques jours loin de la région parisienne, de l'initier au voyage et de revenir chez elle en forme en cette belle journée d'anniversaire, pour le célébrer avec tous ceux qu'elle aime !